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Au début du siècle, Arcachon devint l'un des premiers ports de pêche français. C'est en 1955 que les digues de protection et les terres-pleins furent construits et aménagés. Le port actuel fut inauguré 5 ans plus tard et présente aujourd'hui des installations professionnelles et modernes sur les 280 mètres de quais où viennent accoster une trentaine de chalutiers et une quarantaine de vedettes rapides de pêche.

Aujourd'hui, le port de pêche d'Arcachon constitue une activité économique essentielle sur le Bassin. L'activité portuaire continue de se développer et l'acquisition récente d'un élévateur, permet aux marins pêcheurs de procéder dans de meilleures conditions à la maintenance de la flotte.

Un très vaste port de plaisance se partage le plan d'eau délimité par une longue digue courbe. Pas moins de deux mille cinq cents bateaux de plaisance se balancent dans ce port. Le promeneur trouvera toujours un motif d'intérêt ; si vous parcourez la digue, admirez le monument planté à son extrémité : une ancre marine rappelle la croix, une statue de femme évoque la fille, l'épouse ou la mère du marin.

un peu d'histoire
En 1910, Arcachon est le second port de pêche de France avec sa flotte de chalutiers (39 sur 200 pour toute la France), ses 4.000 pêcheurs et ses 2.400 pinasses. Avant l'apparition du bateau de pêche à vapeur, les Arcachonnais utilisent trois types d'embarcations : la tillole, employée seulement à l'intérieur du Bassin, la pinasse qui ne s'éloigne pas des côtes, et la chaloupe, la seule à affronter la haute-mer. De grandes pinasses montées par une dizaine de rameurs sont utilisées pour la pêche à la sardine. En 1836, le premier chalutier à vapeur du monde a été armé à Arcachon. A partir du milieu du XIX e siècle, la pêche au chalut à vapeur s'est développée. On a assisté, en 1865, à l'installation à Arcachon des toutes premières pêcheries industrielles de France. Johnston, un Bordelais marié à une riche Américaine du Sud, a fondé la Société des Pêcheries de l'Océan, avec un chalutier en fer et à hélice, le Cormoran, suivi du Héron. D'autres sociétés ont suivi avec un certain succès jusqu'à ce qu'en 1900 apparaissent les Pêcheries de Gascogne et la Société Nouvelle des Pêcheries à vapeur. En 1898, un premier navire à moteur apparaît dans le Bassin. Les ateliers Couach et Castelnau se spécialisent dans les moteurs marins. La première pinasse motorisée d'un moteur Couach est utilisée en 1905.