Depuis la Basilique Notre Dame, la Croix des Marins qui termine l'allée de la Chapelle est l'entrée d'une petite jetée. Vous apercevez, à droite, les villas sur le bassin et le trou dit "de Saint-Yves", à gauche, la plage très agréable qui précède celle de Péreire.

Si nous restons sur ce sable blond, qui fait l'orgueil de nos plages et "le manteau des Fées", nous pourrons emprunter une de ces mystérieuses ruelles pour rejoindre le boulevard de l'Océan ou l'Avenue Sainte Marie.

Le Parc Péreire nous laisse entrevoir un spectacle enchanteur. Coucher de soleil sur le "Ferret" 

Jusqu'à la plage des Arbousiers, vous découvrirez une esplanade de gazon et de verdure, des jeux pour les enfants, un emplacement pour les planches à voile et une piste de skate. En revenant, on passera devant le Tir au Vol, vous remarquerez, à droite la plantation de pins et vous arriverez, à la piscine et aux courts de tennis et on a accès à la ‘’thalasso’’  qui est indépendante de l'hôtel et les Arcachonnais pourront profiter simplement de l'ensemble des installations, avec des formules de cures complètes ou plus souples, en demi-journées ou soins à la carte. De plus, tous les jours à partir de 17h et le dimanche toute la journée, les parcours Bio-Marin, sauna, hammam et salles de gymnastique sont accessibles sur simple entrée ou abonnements.

Elle est loin l'époque où l'on venait ici, en cure, à la Source Sainte Anne des Abatilles. C'est dans cette "vallée" que la société française d'hydrocarbures fit jaillir, en 1923, une eau d'une grande pureté. On peut la goûter à la Source Sainte-Anne. Cette société a été reprise par les eaux d'Evian

Gabrièle d'Annunzio, beau poète Italien, connut ici un amour des plus romantique avec la comtesse Gouloubev. Mauriac lui-même résidera dans la villa St-Dominique, villa des jours heureux.

Notre Dame des Passes abrite la Vierge de l'Avent.

Depuis 1815, ce canon de bronze continue à nous protéger de l'invasion anglaise. Hissé sur la Terrasse du Grand Hôtel, lorsque la mer se décida à nous le rendre, il témoigne de l'enjeu que représentait notre côte à chaque guerre.